J’ai choisi le Festival de Flamenco à la Vilette avec Pastora Galvan, Antonio Canales, El Pele, Bobote,Rafael Rodríguez, Jesus Gorbatcho, LA TREMENDITA , Olga Pericet …
pour confronté deux boitiers Canon et 2 optiques 70-200mm et vous faire partager mon autre passion …le Flamenco
Que la » Battle » commence !
1-Soirée du vendredi 5 mai avec un Canon 5DSR, 70-200 mm F 4.1/250 à 6400 Iso
2-Soirée du samedi 6 mai avec un Canon 1DXMK2, 70-200 mm F 2,8 IS II à 1/500 à 6400 Iso
Quid de la montée en bruit (grain) entre un boitier Canon 5DSR à 50Mpxl( 3900 Euros) et le navire amiral de Canon 1DX MK 2…à 20,2 Mpxl( 5.325 Euros) , et faut-il investir dans une optique à 2300 Euros(70-200 mm F 2,8 IS II) ou continuer avec l’excellent zoom 70-200 mm F 4 (d’occasion actuellement autour de 780 Euros) ?
1er Galerie: Soirée du vendredi 5 mai avec un Canon 5DSR, 70-200 mm F 4.1/250 à 6400 Iso (prix équipement: -de 5000€)
2em galerie: Soirée du samedi 6 mai avec un Canon 1DXMK2, 70-200 mm F 2,8 IS II à 1/500 à 6400 Iso ( prix équipement: + de 7.600€)
LA TREMENDITA – FATUM
accompagnée d’un pianiste et d’un percussionniste
Chanteuse bien sûr, mais aussi compositrice, guitariste, auteure… La Tremendita est avant tout une passionnée et une artiste aux multiples talents. Entre passé et présent, elle construit ses spectacles comme des discours complets et incarne ainsi un nouveau type d’artiste flamenco : polyvalent et créatif.
OLGA PERICET – PISADAS, FIN y PRINCIPIO DE MUJER
accompagnée de Herminia Borja, Miguel Lavi, Miguel Ortega (chant), Paco Iglesias, Victor « El Tomate » (guitares), Tacha Gonzàles (palmas)
Dans ce spectacle, Olga Pericet crée un univers féminin qui rompt avec les codes préréglés. Un langage visuel et chorégraphique qui affirme la carrière personnelle de cette artiste polyvalente. Olga Pericet propose des cycles de vie, toujours du point de vue des femmes protagonistes de leur propre histoire. Elle fait appel au besoin humain de se joindre au fil du temps en réassociant le présent avec ses origines et ses célébrations.
Conclusion:
Deux outils et deux budgets très différents pour un même exercice.
Pas de mystère, le 1DXMK2 remporte haut la main cette « Battle » car son capteur est de loin le meilleur capteur en basse lumière chez Canon, pour ceux qui officient dans les salles obscures de spectacles, c’est le choix évident!
Concernant les 2 objectifs 70-200 mm, le combat était vraiment inégal et le Canon 70-200 mm F 2,8 IS II est resté intouchable !
La différence de prix justifie-t-elle la différence de résultat ?
Vous pouvez, bien sûr, capter des moments incroyables avec le 5DSR, mais vous serez bluffé par la réactivité et le capteur du 1DX MK2 qui vous donne des détails incroyables en basse lumière.
Le 1DXMK2 vous donne un avantage évident face à la concurrence pour aller chercher le moment décisif pendant le spectacle.
Il est bon de constater que la promesse est vraiment tenue.
En ce qui concerne le Canon 70-200 mm F 2,8 IS II, sa stabilisation, sa nouvelle formule optique, et son nouveau moteur en font une optique « Prime » INDISPENSABLE en condition de basse lumière ou chaque « diaph » vaut de l’or.
Faut-il adopter le gros capteur (50Mpxl) en prévision d’une exposition avec fort agrandissement ?
Comme tous mes camarades photographes, lorsqu’on capte une image incroyable on aimerait avoir le maximum de pixels sous le capot pour une future exposition. Mais le plus important c’est de saisir « le moment » qui fait vibrer le spectateur de votre exposition, voilà pourquoi mon choix est fait…à vous de vous faire votre propre avis.
À bientôt
David Ken