Chers amis,
Dimanche matin, j’avais rendez-vous avec Cyril de chez Fuji France pour prendre possession du Fuji GFX 50s!
(Merci pour la réactivité des Fuji guys, que j’ai appelé…jeudi PM)
Alors, je ne vais pas vous rabâcher les oreilles avec l’aspect technique de la grosse bébête de Fuji, pour cela il suffit de cliquer ici.
Je vais tester l’animal en conditions réelles et essayer de partager avec vous mon sentiment.
Commençons par mon exercice préféré, le portrait à l’arraché sans lumière additive avec ce portrait réalisé dimanche avec mon ami (et collègue photographe) Nikos Aliagas dans un jeu de regards, jeux de miroirs et de complicité .
Attention DANGER, obligation de mise au point précise faute de quoi à F7,1 vous partez vite dans le brouillard et vous perdez l’intensité du regard.
Très belle surprise à 3200 ISO et lumière du jour le capteur est juste exceptionnel, il apporte même un grain qui me rappelle l’argentique type TriX 400 iso.
Au bout de 30min vous êtes dans vos habitudes, comme si vous aviez un gros XT2 dans la main.
L’objectif (GF 32-64 F4 R LM WR) unique que Fuji m’a confié a répondu à toutes mes attentes ( Portrait et on le verra plus tard Street Photography)
Petit conseil: pour moi la poignée est conseillée ( avec une batterie en plus) elle est parfaitement ergonomique et équilibre mieux l’ensemble ( très beau boulot de design et d’ergonomie, du matériel pensé vraiment pour les photographes)
Le viseur est bluffant et vous laisse vous concentrer sur votre sujet et rien que sur votre sujet!
Fuji GFX 50s 1/125 à F 7,1 , Iso 3200.
GF 32-64 F4 R LM WR
Portrait de Moncef à l’agence Pueblo, lumière du jour à F 4,5 !
Magnifique bokeh, le moyen format fait vraiment la différence, mais a besoin d’être dompté !
Portrait de Matthieu (restaurant HAND place de Richelieu dans le 1er…ma cantine!)
Le grand angle est très équilibré sur les bords et les détails de la barbe sont impressionnant .
Enfin, pour terminer cette première journée portrait, voici Léa en studio éclairée au flash Broncolor à 100 Iso F9, 1/125, sans maquillage:
Toute l’utilité du moyen format, détails (crop) dans les cheveux et douceur dans la peau, bluffant!
Bon, je vous retrouve demain pour la suite de l’aventure avec le Fuji GFX 50s, cette fois en route pour une ballade dans les rues de Paris.
David Ken